Tuesday, March 17, 2020

Le COVID-19 : Un virus peut-il être "chinois"?

Le 18 mars 2020.

C’est pas le temps de faire des partys.
- François Legault, premier ministre québécois.

Le président américain vient d'assortir de ce qualificatif le coronavirus. On comprend que Pékin pousse immédiatement les hauts cris, mais pour une fois, celui qu'on pourrait très sérieusement appeler "agent orange" soulève peut-être une question digne d'intérêt.

De manière générale, la recherche scientifique n'est pas toujours propre. Il n'y a pas que le nucléaire iranien ou nord-coréen.

Les Etats-Unis eux-même ont une longue histoire d'expérience médicales criminelles depuis le XIXe siècle, pratiquée sur les Afro-Américains, Latinos ou malades mentaux, au pays, ou au Guatemala, comportant notamment l'inoculation de maladies comme la syphillis ou la peste bubonique, l'administration de drogues, des expositions aux agents radioactifs, des opérations sans anesthésie, sur des sujets sains, enfants ou adultes, détenus ou en "liberté". Voir, par exemple, l'étude de Tuskegee (Alabama) sur la syphillis, les Porto-Ricaines qui ont servi aux expériences relatives à la pilule contraceptive, etc.…  En matière plus directement militaire, il faut aussi évoquer les lavages de cerveaux canado-américains financés par la CIA (notamment avec l'aimable et enthousiaste collaboration de l'université McGill de Montréal) et les nombreuses expériences impliquant des agents biologiques.

Bref, la biologie, comme la physique nucléaire, peut donc aussi constituer une véritable arme de guerre.

Alors quid de l'administration chinoise, laquelle n'est pas particulièrement réputée pour sa transparence?

Vu ses mensonges systématiques quant à chronologie du COVID-19, a fortiori, on peut légitimement poser la question de savoir s'il n'y a pas eu volonté de cacher une fuite involontaire due à des microbiologistes maladroits provenant d'un laboratoire militaire, et donc l'existence même d'un programme biologique militaire en cours d'élaboration. S'agit-il d'un Three mile Island, ou d'un Tchernobyl viral? Nul observateur n'ignore que la Chine avance discrètement, et efficacement, ses pions économiques et politiques à travers le monde, évitant les pièges des conquêtes coloniales de jadis, mais on ne peut que tenir pour acquise l'existence de recherches biologiques, à éventuel usage ultérieur.  En l'occurrence, est particulièrement troublante la persécution juridico-policière dont fut victime le lanceur d'alerte, le Dr Li Weliang; surtout, il est censé être mort de la maladie qu'il a révélée au monde, à l'âge de… 34 ans, alors que la plupart des victimes dans le monde sont octogénaires. Est-ce plutôt une balle dans la nuque qui a sanctionné celui qui risquait de trahir un secret d'état?  (Sans oublier qu'une balle est plus propre, plus aseptisée, et préserve l'intégrité des pièces de rechange).

En l'espèce, on ne saurait soupçonner une attaque en règle contre le reste du monde : comme la pandémie est partie de Chine, elle nuit à son économie. Impossible donc de concevoir le sacrifice d'une main-d'œuvre abondante, même si la vie humaine y vaut à peine son pesant de caramels mous. A ce stade, l'hypothèse de l'incident technique est à privilégier, même si l'on doit déplorer un extrême préjudice pour le Dr Li.

C'est dans de telles crises que l'on regrette la disparition des Gérard de Villers et des Michael Crichton. Le COVID-19 eût été pain bénit pour eux.

Après la révolution culturelle maoïste des années 60, la planète a droit à un infect bouillon de culture, mais les vrais croyants ne craignent rien : ils ont l'eau miraculeuse de Lourdes.

LP

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