Monday, March 23, 2020

Le COVID-19 : Mais que vaut la pauvre "science" humaine face aux châtiments divins?



Le 23 mars 2020.

Je suis allé à Lourdes avec ma femme. Il n'y a pas eu de miracle. Je suis revenu avec.
- Seymour Brussel. 

Jusqu'au seuil de la mort, la vie a la vie dure.
- Gilles Perrault.

L'humanité à la nuque roide n'a encore rien compris : les tremblements de terre, les raz-de-marées, les famines, les épidémies de choléra, de peste, et bien entendu de SIDA ne sont que sanctions, amplement méritées, imposées aux impies et libertins.

Au lieu de se fier aux laboratoires impuissants à contrer la colère divine, l'homme doit plutôt se tourner vers les recettes éprouvées, selon un esprit de repentance, au mépris des esprits forts. La miséricorde de notre créateur s'est souvent manifestée dans les nombreuses guérisons miraculeuses, opérées par le messie lui-même et par ses successeurs, relatées de manière quasi-journalistique dans le Nouveau Testament, la littérature hagiographique ultérieure, etc.. C'est avec émotion que l'on pense aux miracles de Lourdes (odieusement ridiculisés par Emile Zola l'apostat; que cet ignoble dreyfusard brûle pour l'éternité parmi les damnés). 70 à ce jour. Et ce n'est pas fini…

Mais il s'agit d'interventions individuelles, alors que la crise du COVID-19 appelle maintenant une formule collective. Que faire?

Force est de constater que des suppliques adressées à Sainte Rosalie de Palerme sont la solution. Simple, mais il fallait y penser. Explication.

En effet, voilà une jeune fille très pieuse, née en 1130, qui se retira du monde (sur les sages conseils de la Sainte Vierge, cela va de soi), à l'âge de 14 ans; elle passa les dernières années de sa vie dans une grotte, buvant l'eau d'une source et se nourrissant des offrandes de la nature environnante. Elle mourut en 1166.

En 1624, la peste se déclara à Palerme, et Rosalie apparut d’abord à une malade, puis à un chasseur auquel elle indiqua où se trouvaient ses reliques : il reçut l'ordre de les transporter à Palerme et d’organiser alors une grande procession dans les rues de la cité. Ce qui fut fait. Dès la fin de la procession, comme on pouvait s'y attendre, la peste cessa. Rosalie venait de gagner ses galons de sainte patronne de la ville qu'elle venait de sauver.

Par analogie, il est manifeste qu'elle seule est en mesure aujourd'hui d'anéantir le COVID-19. (La planète ne dispose plus de fragments extraits de la sainte carcasse pour toutes les processions, mais les prières et les incantations devraient suffire amplement).

Elle seule? Après tout, comme on le recommandait récemment, l'envoi simultané d'un petit chèque en shekels au thaumaturge rodé Rabbi Eliezer Berland est toujours d'actualité. En matière de miracles, comme dans les investissements boursiers, on ne saurait saurait trop recommander la diversification, dans certaines limites cependant : c'est le rassemblement organisé par l'évangélique Eglise de la Porte ouverte chrétienne de Mulhouse, en France, du 17 au 24 février dernier, qui a servi de… porte grande ouverte au virus dans toute la France et au-delà, qui précipite de nombreux malades vers l'au-delà. Un virus, que l'on peut, au final, qualifier de sino-évangélique.

Comment douter que les parpaillots sont les suppôts de Satan?

Il y a des bûchers torquemadesques qui se perdent pour le pasteur Thiebault Geyer, (d'autant plus qu'il n'est pas contaminé…). Il raconte : "On a passé une semaine à prier tous ensemble, on se donnait la main, on se faisait la bise...". La multiplication des baisers de Judas. Les vrais croyants frémissent d'horreur. Pour cet hérétique, il est déjà trop tard pour revenir à Notre Sainte Mère l'Eglise et faire allégeance au seul vicaire du Christ dans la Rome éternelle.

A défaut de bûcher purificateur terrestre, sa marmite est fin prête et Belzébuth est impatient de lui rendre les honneurs.

LP

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