Monday, December 12, 2016

Notre Saint-Père le Pape tonne contre la désinformation!



Le 12 décembre 2016.
                       
Prenez, mangez, ceci est mon corps.
- Matthieu 26: 26.

Comme le chien retourne à ce qu'il a vomi, ainsi l'insensé revient à sa folie.
- Proverbes 26:11.

Il nous donne une majestueuse leçon d'intégrité journalistique lors d'un entretien accordé à l'hebdomadaire catholique belge Tertio :

La désinformation est probablement le plus grand mal qu'un média puisse infliger, parce qu'elle oriente l'opinion dans une seule direction, en omettant une partie de la vérité… Je crois que les médias doivent être plus clairs, plus transparents et ne pas tomber, excusez l'expression, dans la coprophilie toujours prête à répandre les scandales des choses abominables… Les médias ont leurs propres tentations, ils peuvent être tentés par la calomnie, et donc être utilisés pour calomnier, salir les gens. Les médias peuvent être utilisés comme outils de diffamation ... Personne n'a le droit de faire cela. C'est un péché et c'est blessant.

Voilà qui pèse lourd dans la balance de la part du dirigeant d'une église qui, depuis 2000 ans, se livre à une propagande grotesque, persécute impitoyablement les esprits scientifiques rationnels, et qui n'a cessé de brûler au bûcher les contradicteurs que depuis qu'elle a perdu le pouvoir temporel.

Si l'on se souvient que les journalistes sont les historiens d'un jour, il faut conclure des anathèmes de François qu'il se fait dorénavant, plus généralement, le héraut de la méthode historique scientifique.
Le pape est un fin lettré, qui manie la métaphore, pardon, la parabole, surtout délicieusement scatologique, comme pas un.

Logiquement, on peut donc espérer, dans un proche avenir, la dissolution de Vatican, Inc., puisque son existence même est fondée sur le Nouveau Testament, ses statuts constitutifs.

En effet, parlant de consommation de matière fécale, plus ou moins liquide, il s'agit là d'un torchon totalitaire présenté jusqu'à présent, au mépris du bon sens, comme document historique, alors qu'il regorge de contes de fées, d'où jaillissent d'abondants et diarrhéiques appels à la haine éternelle des Juifs déicides toujours en vigueur - qui relativisent donc la suspension, partielle, prononcée du bout des lèvres en 1965, de leur condamnation ainsi que la très récente profession de foi en la tolérance du Saint-Siège - qui a causé, et qui cause, bien des… indigestions aux humanistes.

Il va sans dire que l'on n'entendra pas non plus parler des guérisons miraculeuses à Lourdes.

Il était difficile de faire mieux, ou pire, en matière de désinformation.

Si l'on se fie aux dernières imprécations du pontife, il faut croire que l'humanité est maintenant sur le point de humer la bonne odeur d'un pain nouveau.

LP

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