Le 19 mars 2024.
Ce
pays est mou.
- Charles
de Gaulle.
[En
cas de guerre nucléaire]« l'agresseur doit comprendre que le châtiment est
inévitable, qu'il sera détruit. Et nous, en tant que victimes d'une agression,
en tant que martyrs, nous irons au paradis. Eux [les agresseurs], ils crèveront
tout simplement, ils n'auront même pas eu le temps de se repentir ».
- Vladimir Vladimirovitch
Poutine,
Le dramatique et insoutenable suspense se solde par un triomphe pour la démocratie : l’humaniste président de toutes les Russies est réélu. Une petite déception, cependant, il ne recueille qu’un maigre 87% des suffrages. Les grands hommes d’État visionnaires sont trop souvent incompris, même et surtout quand ils invoquent patriotiquement la formule consacrée du « droit de se défendre », (formule qui, par les temps qui courent, tinte avec une certaine régularité dans les actualités). On a beau être foncièrement pacifiste, pas question de se laisser « intimider » par les agresseurs.
En l’occurrence, il est impossible de ne pas faire le rapprochement avec la saga de Rocky Balboa : même quand tout semble perdu, face à l’adversité, la persévérance est toujours récompensée. Quand on mène un combat d'idées à la loyale, on est toujours gagnant, surtout quand on est adoubé par le patriarche orthodoxe Kirril, ex-collègue du KGB, et l'on devient ainsi l'oint du Seigneur.
Avec le président Poutine, la planète entière est à l’aube d’une ère messianique. Les temps sont proches.
LP
No comments:
Post a Comment