Le 13 décembre 2017.
We have seen more than once that the public
welfare may call upon the best citizens for their lives. It would be strange if
it could not call upon those who already sap the strength of the State for
these lesser sacrifices, often not felt to be such by those concerned, in order
to prevent our being swamped with incompetence. It is better for all the world
if, instead of waiting to execute degenerate offspring for crime or to let them
starve for their imbecility, society can prevent those who are manifestly unfit
from continuing their kind. . . . Three generations of imbeciles are
enough.
- Le juge
Oliver Wendell Holmes, Jr. dans Buck v.
Bell, 274 U.S. 200 (1927).
Douce en effet car les êtres humains - au sens
plein du terme - ne peuvent que se réjouir de la défaite d'un dégénéré qui aurait
fait honte à un Néandertalien moyen.
Mais amère si l'on constate qu'il a quand même
rallié à son panache… blanc 48% de l'électorat (75% des hommes blancs et 65%
des femmes blanches).
La victoire de Doug Jones - sous réserve d'un
recomptage judiciaire- ne saurait donc nous leurrer : la sinistre réalité est
que, dans le Deep South, et notamment
en Alabama, prolifèrent les rednecks qui, parfois, ne trouvent un(e) partenaire
qu'à l'occasion des réunions de famille (il faut se rabattre sur cette seule formule
lorsque les enfants du foyer sont tous du même sexe, ce qui limite partiellement
les possibilités de copulation).
L'on peut tirer un enseignement de cette
élection sénatoriale. Les chiffres sont là, incontournables, et il est possible
que la seule solution réaliste et humaine pour assainir ce marécage génétique, dont
les fétides exhalations ne peuvent être confinées dans les frontières de l'Etat
qui n'a pas volé son surnom de Heart of
Dixie, ni même dans la Mason-Dixon line,
consiste en la stérilisation obligatoire de masse que l'on peut qualifier de mesure
de santé publique.
Mais, pour l'instant, une occasion en or s'offre
à Hollywood : faire un remake de Deliverance,
un classique du 7e art, et, consolation pour l'ex-juge, il sera le premier
choix pour y tenir la vedette, sans audition. En Amérique, il y a des
passerelles entre la politique et le cinéma.
On serait d'abord tenté de lui confier le rôle
du joueur de banjo, mais il est peut-être trop âgé et la scène serait trop
courte. Par contre, il pourra mieux déployer ses talents dramatiques naturels en
incarnant l'agresseur de Bobby. Mieux, l'on pourrait envisager une petite
modification du scénario : au lieu d'une expédition de 4 amis, pourquoi pas une
excursion de fillettes de colonie de vacances, âgées de moins de 14 ans, et qui
seront sous peu mères de famille?
LP
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